Le Meurtre à la Rose [Intrigue - enquête]

INTRIGUE COLLECTIVE

MEUTRE A LA ROSE

Elle fait face au cadavre mais ne dit pas grand chose. Que dire, de toute évidence ? Puis, elle éclate de rire. Puis, son sourire s'efface. Puis, elle fronce les sourcils. Puis, elle sent ses nerfs lâcher.

« Doucement, Capitaine, vous vous engouffrez sur une voie dangereuse. »

Emma, sujet très fâcheux, trop fâcheux peut-être pour qu'elle en parle ouvertement, et ce, en public. Très peu pour elle, cela ne les regarde en rien. La blonde et elle partagent quelque chose de particulier, certes, et il est certain que la population s'en doute, aujourd'hui. Mais elle ne se laissera pas aller à une crise devant l'entièreté des invités.

« Je ne me laisserai pas être accusée par un pirate prétentieux qui porte plus d'eye-liner que moi. Il me semble que vous n'étiez d'ailleurs pas présent au début de notre sympathique soirée, j'aurais remarqué votre forte haleine à plusieurs mètres. Vous empestez l'alcool. »

Elle grimace pour affirmer ses dires, puis secoue la tête.

« Quoi qu'il en soit, notre chère Sauveuse n'est pas présente, et si je souhaitais qu'elle le soit, je l'aurais déjà appelée pour signaler notre découverte macabre. Vous pouvez vérifier la liste de mes appels, si vous le désirez, Monsieur l'Inspecteur. »

Elle sort son téléphone portable et le secoue sous son nez, avant de se retourner en fixant l'entièreté de la population présente.

« Il est tellement aisé de mettre la faute sur ceux qui sont censés être les Méchants de l'histoire. Qui nous dit que ce n'est pas cette petite princesse à l'allure d'innocente ? »

Elle ignore qui elle désigne. Ou plutôt, elle le sait très bien, au fond. Anya. Anastasia. Peu importe le nom qu'elle porte, elle n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.

Le meurtre à la rose

ft. Collectif

* La tension dans la pièce était plus que palpable. Tout le monde défiait l'autre du regard, jaugeant les autres, à la recherche de qui pourrait bien être responsable de cette marre de sang. Et surtout de qui elle venait. C'était même certainement la question qui était sur toutes les lèvres à cet instant précis.
La réponse vint plus vite que la jeune rousse ne le pensait, puisqu'à la demande d'un des invités, la maîtresse de maison ouvrit la porte qui cachait le corps. Porte qui livra un spectacle des plus macabres: une vieille femme avec une balle en plein milieu du front. C'était du trou laissé par celle-ci que le sang visible sur le sol c'était écoulé.
Dégoutée, Anya tourna la tête pendant quelques secondes, tout en resserrant son étreinte contre Dimitri. C'est alors que plusieurs personnes prirent la parole, commençant à s'accuser mutuellement du meurtre. Car oui, le meurtrier était surement l'un des leurs. Sans un mot, la russe observa cette scène d'accusation, jusqu'à ce que l'accusation soit portée sur elle, par nulle autre que Mme le Maire.

Surprise, elle se redressa quelque peu avant de prendre la parole *

- Moi ? Mais ça ne va pas! Je ne ferai pas de mal à une mouche! Enfin, tout le monde le sait. Et encore moins à une vieille dame !

* Elle défia du regard la Méchante Reine avant de reprendre *

- Peut-être que c'est vraiment vous et que vous détourniez les soupçons en m'accusant ! Ca ne serait pas la première fois.

fait par Blueberry

Je tenais Anya tout contre moi pendant ces instants de chaos. Je ne connaissais pas grand monde et toutes les personnes présentes avaient l'air de plus se détester les unes que les autres.
Ville charmante et paisible. Vraiment.
Je me fichais bien de qui accusait qui, je ne pouvais quitter des yeux la scène macabre. C'est laid un cadavre. Repoussant. Et pourtant une curiosité malsaine m'empêchait de ne cesser de le scruter. Je cherchais je ne sais quoi qui pourrait faire avancer la situation.
C'est seulement quand on accusa ma princesse que je retournai mon attention vers la foule qui s'amassait dans la pièce qui semblait presque petite pour accueillir pareil assemblée. Comment osaient-ils songer un seul instant qu'Anya ait pu faire ça. C'est ridicule, vraiment. J'en aurai presque ri si la tension n'était pas si palpable. Et puis ce manège ne rimait à rien, ces piques étaient stériles.
Je ne connaissais pas grand monde dans la ville mais j'arrivais quand même à reconnaître madame le maire, c'est pour cela que je le pris à parti.

- D'ailleurs au lieu de dire des absurdités, ne devriez-vous pas, je ne sais pas moi, appeler la police ? Ou un médecin. Enfin faire examiner ce corps avant le siècle prochain.

Meurtre à la Rose
Intrigue Collective

Tout le monde semble ne plus réellement réaliser que tout ceci a bel et bien lieu devant un cadavre. A trop se tirer dans les pattes, ils n'avancent guère. Teddyjay, elle, jette quelques coups d'oeil à cette femme à qui on a ôté la vie. La vision la dégoûte, bien qu'elle soit future médecin. Ou est-ce le fait de savoir que cet individu a été victime d'un homicide ? Très certainement. Elle n'écoute pas réellement ce qui se déroule autour d'elle. Elle n'a d'yeux que pour cette vieille femme, qui n'avait certainement rien demandé de tout cela. Ou du moins, c'est ainsi que l'on entrevoit, à chaque fois, les personnes âgées : seules, influençables, fragiles. Mais on a tendance à oublier qu'ils ont été enfants, adolescents, adultes avant cela.

« Je... Je suis médecin. »

Elle lève légèrement le doigt, timide, et elle a peur de ne pas avoir été entendue, dans tout ce brouhaha.

« Enfin, pas tout à fait, mais.. je peux l'examiner. »

Elle est certainement la seule qualifiée, d'ailleurs, pour cette tâche. Elle avale sa salive, et tous les yeux se posent momentanément sur elle. Elle esquisse une légère moue et traverse la pièce à pas lents. Elle déteste la mort, lorsqu'elle est déjà prononcée, irrévocable. Elle se penche vers la plaie, ne touche à rien, fait en sorte de ne pas la bouger non plus.

« Un objet contondant a transpercé son crâne, il a sectionné la carotide, et elle s'est... vidée de son sang. »

Le bilan n'est guère très surprenant, en vue de la quantité de sang sur le sol. Néanmoins, elle peut guère en dire davantage.

« Je... Je ne sais pas ce qui a pu provoquer une telle plaie.. Mais, je pense qu'il s'agit, en effet, d'un meurtre. »

Et elle recule, elle s'écarte pour reprendre sa respiration. Elle vient bel et bien de prononcer ce mot, tout haut. Elle ne s'en aurait pas cru capable.

« Et la mort remonte certainement à... à peine une, ou deux heures. Le... Le corps est encore chaud. »

Si elle n'avait pas un coeur très accroché, elle aurait peut-être vomi.

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Le Meurtre à la Rose

“Il faut des jambes pour sauter et danser”

U

n meurtre, voilà ce qui était arrivé en ce lieu et voir tout ce monde autour de moi s'exciter, s'accuser, prendre des airs tantot accusateurs, tantot outré, me laissais perplexe. J'avais l'impression très simple d'etre au mauvais endroit au mauvais moment. Comme un cheveux sur la soupe pour être précis.

Lorsque la porte s'était ouverte sur le corps de cette femme, je n'avais su faire autrement que me cacher les yeux, tel une enfant effrayée. Me demandant si tout cela n'était pas un simple cauchemar, une blague peut être ? Une sorte de jeu de piste pour donner du peps à la soirée. Mais à la vu du crane de cette pauvre femme à ce que je pensais voir en sortir enfin, je savais ce qui en sortais, je n'étais pas si stupide pour ne pas comprendre qu'une plaie ouverte à la tête laissais sortir quantitée de sang.

Pourtant une chose étrange advins. Alors que notre hotesse semblait se moquer de la pauvre victime et qu'autour, cela commençait clairement à s'accuser les un les autres sans preuve autre que l'envie de trouver un coupable, je sentis comme quelque chose remonté dans mon œsophage. Le saumon qui ne passe pas ? C'est une possibilité ou ce cadavre et ce sang me soulève le cœur, c'est une possibilité. Une possibilité qui se revela plus que vrai puisque je me jetais sur la première chose à portée pour vomir lourdement le contenu de mon estomac au dedans. Cette soirée n'étais pas si bien que cela au final. Pour tout dire, j'aimerais même pouvoir partir d'ici au plus vite et ouvlier ce que je venais de voir, mais si ils en étaient à tous s'accusaient, n'allaient ils pas finir par me rejeter la faute dessus ?

Je m'essuyais les lèvres, dégoutée par le goût qui me restait en bouche, écoutant d'une oreille distraite ce qui se disait, cette histoire de reine, que je ne comprenais pas. Un surnom ? Surement. Puis la doctoresse qui nous dit qu'elle est bien morte, d'une arme contendante et il y a une ou deux heures tout au plus. Mais il y a une ou deux heures j'étais...pas là si ? Ou cela fait déjà si longtemps que la fête à commençé ?j'avoue me sentir quelque peu perdu sur l'instant puis que dire avec tout ces gens autour si ce n'est la pure logique ?

« Mais...on devrais pas appeler la police ? Pourquoi tout le monde semble agir comme si c'était commun ? »

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Le Meurtre à la Rose

Belle Ft. Collectif

L

orsque les yeux rond de tous et chacun s'était retourné vers moi lors de mon entrer dans la pièce, j'ai dû avoir l'air d'une belle tarte. Heureusement, je ne suis pas restée l'attraction principale. Malheureusement, c'est à cause d'une mort que je ne suis plus celle sur qui l'intérêt général est tourné. La pauvre vieille femme fixe l'assemblée de ses yeux vide, froid et vitreux. Le regard de la mort. Je m'avance dans l'assemblée pour observer la scène de plus près. Certaines accusions me viennent aux oreilles, d'autres voix se font choquer puis d'autres encore tentent d'user de l'humour pour échapper à la nervosité qui grandit en chacun de nous. Les regards demandent tous la même chose. QUI a pu poser un tel acte en cette journée qui devrait, normalement, être rempli de bonheur? J'aperçois une femme s'approcher du cadavre et constater l'heure à laquelle la dame a été tuée. Elle ajoute que la plaie a été faite par un objet contondant. Un énorme remonta le long de mon échine. Mon propre regard se pose maintenant sur un des invités. Puis sur un autre. Et encore sur une autre personne. Le coupable peut-être n'importe quel d'entre nous. Peut-être même que ce coupable est déjà loin?

- Mais... On ne devrait pas appeler la police? Pourquoi tout le monde semble agir comme si c'était commun?

Je me tournai vers la rouquine, l'observant de haut en bas. Son visage pâle, suite à ses nombreux hauts-le-cœur, trahi d'une certaine incompréhension de la situation. Je marmonne bien malgré moi.

- Encore faudrait-il que la police arrive avant que le ou la coupable n'est pris la poudre d'escampette. Peu importe qui est-ce, je suis persuadée que cette dite personne est toujours içi... Dans cette pièce peut-être.

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LE MEURTRE À LA ROSE
Intrigue spéciale St. Valentin

❝ House on fire. ❞

Il assiste à la scène sans réellement y prendre part. A dire vrai, les comportements auxquels il fait face l'intéressent bien davantage. Quelques cris, quelques mines effarées se mouvent devant lui. Il secoue brièvement la tête, le regard visiblement critique. L'être humain est conditionné pour supporter énormément. Mais, bien entendu, les mœurs et les coutumes le poussent à s'outrager d'un rien. Barek passe délicatement son index le long de son menton. Il ne peut le nier ; cette petite expérience est relativement enrichissante pour ses recherches. Etant psychiatre, il est toujours palpitant pour lui de guetter les agissements de ses congénères en situation. Les effluves d'hémoglobine chatouillant ses narines, l'homme ne peut que faire quelques pas curieux vers la porte ouverte depuis peu.
- Hm, intéressant, chuchote-t-il plus pour lui-même.
S'immobilisant aux côtés de Rasvin, son regard s'égard entre les deux époux. L'hôtesse des lieux semble convaincue de l'implication de son mari. Mais, Barek, lui, n'en est pas aussi certain. Il se racle discrètement la gorge, alors qu'il s'avance vers la dite Dame.
- Hm, si je puis me permettre, vous semblez bien plus concernée par cet... incident, que votre époux. Et, vos accusations fougueuses poussent à croire que vous avez, vous-même, quelque chose à vous reprocher.
Barek hausse nonchalamment les épaules puis recule afin de se dissimuler subtilement derrière son patient.

Le Meurtre à la rose

Règlement et indications

Fin de la deuxième étape ! Réfléchissez bien à partir de maintenant, les indices peuvent se diffuser de manière très discrète, et beaucoup d'éléments importants seront à répertorier dans vos carnets ! Soyez assidu pour obtenir vos bonus ! Sachez qu'un seul d'entre vous complète son carnet à fond et obtient des bonus très très important chaque semaine pour la suite de son enquête !

Eliminations de la semaine

Siobhan et Ariel quitte l'enquête. L'étau se ressert, à vous de continuer votre enquête ! Sachez que vous n'aurez évidemment les résultats qu'à la dernière étape, alors soyez réfléchi et assidu dans vos recherches !

Kiki.2000

Le Meurtre à la Rose

~ Rasvin Dasvidanyia ft. les invités ~

Les accusations qui se diffusaient dans la pièce comme une peste purificatrice avait le don d'amuser ce cher Rasvin. Il ne pouvait s'empêcher d'esquisser un sourire en coin chaque fois qu'un doigt se pointait sur l'un des invités. S'ils savaient qui il était, s'ils savaient que c'était lui le fameux Raspoutine qui avait plongé toute la ville dans un cauchemar sans fin quelques semaines auparavant, si la Romanov même était consciente que son pire ennemi se situait à seulement deux mètres d'elle, il serait certain que tous les regards seraient braqués sur lui. Mais il en était tout autre, puisque dans cette ville, sous cette résurrection, il n'était vu que comme un homme quelque peu instable, patient privilégié du Dr. Raskol, mondain discret mais raffiné de la haute société de Storybrooke, sous l'aile avisée de sa chère Zaria. Ce fut d'ailleurs vers elle que son psychiatre jeta son accusation. A vrai dire, Rasvin était assez surpris que l'homme ne l'ait pas encore prit à part pour lui demander s'il en était responsable, étant donné le lien particulier qui les liait tous les deux. Barek avait connaissance des fantasmes macabres de son favoris, et n'en avait - étrangement - jamais été effrayé. Il lui arrivait même d'y montrer un certain intérêt sur ce qui pouvait engendrer ces actes. En avait-il la sensation exquise ?

Alors monsieur Dasvidanyia se pencha vers le corps, puis tendit les lèvres vers l'hôte de maison:
- Alors, ça vous plaît ?

Il connaissait les goûts de Zaria pour le meurtre et la mutilation avisée. Peut-être avait-elle essayé d’appâter son mentor ? Peut-être lui-même avait-il tester son admiratrice ?

Qui sait ?

(c) Kiki.2000

LE MEURTRE À LA ROSE
Intrigue spéciale St. Valentin

❝ Will we remember what we've done wrong ?

Son regard, à la fois clair et sombre de ressentiment, se porta sur le Docteur Raskol qui, pour une fois, avait visiblement décidé de l'ouvrir. Arquant d'abord un sourcil perplexe, Zaria ne rétorqua rien à cette accusation dissimulée. Sous entendait-il qu'elle pouvait être l'auteur de ce carnage ? Probablement. Pourrait-elle, seulement, l'être ? Sans aucun doute. Elle se racla discrètement la gorge. Tout le petit peuple de Storybrooke contemplait désormais ce charmant tableau d'hémoglobine et, les doigts accusateurs semblaient se poser sur n'importe qui. Un vent de panique soufflait inéluctablement au sein de l'assemblée. Lasse, elle se contenta alors simplement de soupirer.

Elle ne put contenir un fin rictus, tandis que Rasvin formulait une interrogation qui, finalement, lui tenait à cœur. Ses iris vinrent trouver les siennes en une symbiose parfaite. Elle approcha brièvement ses lèvres de son oreille, y susurra secrètement :
- C'est un tableau pour le moins alléchant.
Puis, se tournant véritablement vers la foule effarée, Zaria intima fermement :
- Veuillez tous reculer. Il nous faut éviter de toucher à la scène de crime avant l'arrivée du Shérif.

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Le Meurtre à la Rose

Belle Ft. Collectif

J

e ne suis qu'à un mètre environ du couple Yllion et de l'homme qui porte une grande attention au cadavre lorsque notre hôte nous intimes à tous de reculer. Mes prunelles restèrent fixer sur la vieille femme pendant de longues secondes. Mon visage reste impassible, de marbre. Oh oui, certes, j'ai de la peine pour cette femme. Mais mon esprit est trop pris dans ce tourbillon de pensées de toute sorte. Les connexions se font. Le pirate, Killian, s'est déjà fait reprocher son retard... Vais-je être la prochaine à être pointée du doigt? C'est avec ce flux de réflexion que je continue à reculer lentement, jusqu'à arriver au pas de la porte qui mène sur le balcon. Le balcon, un endroit merveilleux pour se changer les idées et disparaître de ce tableau sanglant. Une fois les pieds à l'extérieur, je me retourne, puis, je vais m'appuyer contre l'élégante rembarre. Mes paupières se ferment et j'inspire l'air frais afin de calmer toutes ces conclusions qui me viennent en tête. Lorsque j'ouvre les yeux, c'est avec l'idée de revenir vers l'intérieur avant que mon absence au sein du groupe ne se remarque. Je lisse, pour la deuxième fois depuis mon arrivée en ce lieu, les plies de ma robe puis entame mon avancer vers la haute porte avant de m'arrêter net. Je change ma destination, un reflet ayant attiré mon attention. Lorsque je me penche pour prendre l'objet dans mes mains, je fronce soucieusement les sourcils. Je me relève doucement, tenant toujours cet objet, un cintre en l'occurrence avec une substance foncée à sa surface. Du sang, je n'en ai aucun doute. Je fais volte-face afin d'aller rejoindre les autres mais, je fûts de nouveau arrêter dans mon élan. Bloquer par cette personne, que j'ai aperçu parmi les invités plus tôt, qui me fait face. M'observant attentivement moi puis le cintre que je tiens toujours en main. Je fronce les sourcils de plus belle lorsque je reconnais la lueur dans ses iris. Ce regard indique clairement un soupçon à mon endroit. Ou peut-être est-ce de la paranoïa? Peu importe. Je ne veux laisser aucun doutes s'installer.

-Je... Peu importe ce que vous pensez, laissez-moi vous expliquer. Ce n'est pas ce que vous croyez...

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Le Meurtre à la Rose

~ Scar ft. les invités ~

Oscar fronça des sourcils. La petite bibliothécaire s'était éclipsée trop discrètement à son goût, seule sur le balcon alors que les autres invités avaient seulement reculé vers l'entrée de là pièce - même si aucun n'en était véritablement sortie. Il s'avança vers le balcon et ne pu s'empêcher un ricanement lorsque Belle sursauta en se retournant. Il lui faisait face. Elle était prise, la main dans le sac, avec ce qu'il présumait d'office comme l'arme du crime.

Il avait l'habitude de fouiller les pistes et déceler les comportements douteux, et Belle n'avait pas du tout l'attitude d'une innocente qui était tombé sur le cintre par simple hasard. Elle renchérissait pour se justifier - typiquement suspect. Si elle n'avait rien à se reprocher, pourquoi suer autant et quémander qu'on écoute sa version des faits avec tant d'insistance ?

Il attrapa son poignet et la tira violemment hors du balcon, rejoignant la salle. Il redressa son poignet en l'air vers les invités et sa femme, pour qu'ils constatent tous qu'elle brandissait un cintre dont l'anneau de fer était ensanglanté.

- Regardez ce que nous a dégoté notre lectrice favorite ?

Il lâcha sans délicatesse son bras qu'il avait tendu vers le haut et se rapprocha de Zaria. Il faisait son fier, sur le tapis central de la pièce, mais intérieurement il était tout aussi surpris que les autres, de voir que Belle tenait l'arme du crime. Comme par hasard elle était la seule à s'être faufilée sur le balcon et à en revenir avec ce précieux indice. Trop de hasard, et l'avocat avait l'habitude de relier les gestes et les actes entre eux pour dénicher l'essence même de la vérité.

Mademoiselle French était-elle si étrangère au meurtre ? Après tout, elle était arrivé bien après les autres, comme une fleur, à jeter sa phrase stupide aux invités ahuries par la scène. Et voilà qu'elle dénichait ce qui devait être l'arme du crime... Il réfléchissait. Tout coordonnait. Tout sauf une chose: pourquoi ?

(c) Kiki.2000

Mis à part les faibles informations de celle qui se disait "médecin mais pas tout à fait" et d'autres qui se regardaient du coin de l'oeil, assumant sans aucun retenue apprécier la situation, il ne se passait pas grand chose. On était trop nombreux, trop méfiants dans cette petite pièce pour que quiconque prenne une initiative. C'était même le contraire, lorsque la maîtresse de maison demanda un peu d'espace, je m'exécutais machinalement, bien avant que l'information ne soit digérée. Je jetais un coup d'oeil à Anya pour m'assurer qu'elle tenait le choc.
C'est la grande exclamation du propriétaire des lieux qui redonna un souffle à cette scène pétrifiée. Mon regard remontait le bras de la bibliothécaire et je grimaçais en voyant ce qu'elle tenait. Mince alors, l'arme du crime. Pas exactement l'objet contondant décrit par la pseudo médecin, mais vu la couleur du liquide qui l'enrobait et la forme de l'objet, on pouvait expliquer facilement la trou dans la tête du cadavre. Pas de doute possible.
Et c'est elle qui l'avait trouvé ? N'avait-elle pas aussi dit qu'il était inutile d'appeler la police ? Et qui avait affirmé que le coupable était l'un des invités entassés dans la pièce ?
Un peu comme elle savait. Soit elle a vu quelque chose, soit elle a participé. Tout cela est vraiment louche. Elle ne peut pas "juste" être sorti par "hasard" et avoir trouvé cette arme. De plus, pourquoi l'arme serait-elle ici ?

- Vous insinuez que cette euh... personne aurait été tuée avec un cintre ? Et que celui-ci a été trouvé si facilement ? C'est très passionnel tout ça.

Le meurtre à la rose

ft. Collectif

* Tassée contre d'autres invités, Anya ne se sentait pas vraiment à l'aise. Trop de monde. Trop d'événements. La soirée était en train de tourner au cauchemar. Alors qu'elle regardait les invités s'accuser les uns les autres, elle vit Belle s'éclipser. Etrange non ? Surtout qu'elle avait clamé haut et fort que le meurtrier était parmi tous les invités présents. Mais avant que la jeune rousse ai pu faire remarquer le départ de la bibliothécaire, elle revint, accompagné de l'hôte de la soirée, un objet entre les mains. Celui-ci était maculé de sang, surement celui de la pauvre victime.
Alors que la plupart des invités étaient horrifiés en voyant l'arme supposée du crime, Anya leva un sourcil, perplexe et pas vraiment surprise. La situation était à rire, enfin pour la jeune princesse: comment pouvait-on avoir trouvé aussi facilement l'arme du crime ? C'était étrange, comme si le meurtrier - ou la meurtrière- avait fait exprès de le laisser là où Belle l'avait ramassé. *

- Je suis d'accord avec Dimitri, si cet objet est vraiment l'arme du crime, sa découverte a été trop facile à mon goût.

* Elle jeta un coup d'oeil à la foule des invités, pour voir la réaction des autres.*

fait par Blueberry

Meurtre à la Rose
Intrigue Collective

Après les quelques informations qu'elle transmet, Teddyjay s'écarte et préfère délaisser la vieille dame de son regard. A vrai dire, le simple fait d'avoir bel et bien affirmé les funestes conditions de sa mort lui a offert un lourd poids à porter. Pas qu'elle ne guérisse guère quelques accidentés qu'on avait finalement tenté de faire disparaître, mais Teddyjay n'était guère de ceux qui connaissaient réellement les faits. Elle était le médecin, les patients étaient les patients. Si elle connaissait la plupart du temps ce qui avait pu les mettre dans ce genre d'état - et ceci veut dire qu'elle sait plus ou moins que certaines blessures n'ont rien d'anodines, elle n'a pas le temps de se rendre compte de ce qui a pu se dérouler. Elle ne fait pas partie de l'enquête. Elle ouvre la porte des urgences, répare les dégâts, et laisse le patient guérit repartir, au plus tard quelques jours, ou quelques semaines, après le drame. Elle ignore tout du futur de ceux qu'elle voit ressortir. Elle ignore tout des larmes des familles qui tomberont sur le corps des quelques défunts. En somme, elle préfère oublier, mettre de côté. Cette vieille dame, elle, a été assassinée dans ce lieu, par l'un d'entre eux, certainement, et ne connaîtra pas de lendemain, c'est certain. Teddyjay n'a, cette fois, absolument rien pu faire.

Dans son coin, elle se débat avec ses propres émotions, halète, essaie de reprendre sa respiration. Lorsque Belle, celle dont elle a retenu le nom plus ou moins original, entre et parle, l'attention de Boucle d'Or est attirée, happée par le sens de ses dires. Mais le médecin ne s'attarde guère sur les tressautements de la voix de la jeune femme, elle fixe d'hors et déjà le cintre qu'elle tient entre les mains.

« Oui.. Oui, il est évident que... que c'est l'arme. »

Elle le désigne fébrilement du doigt, alors que son imagination débordante replace l'objet contondant dans ce qu'il a engendré. Elle avale sa salive, essaie de chasser cette atroce pensée en fronçant les sourcils.

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Le Meurtre à la Rose

~ Katherine Blondy feat. les invités ~

Katherine tourna rapidement la tête vers son amie. Son allure droite et légère de d’habitude fondait comme neige au soleil tandis que les reproches et les accusations fusaient sur elle, et ce n’était pas le cintre qu’elle tenait dans sa main qui les stopperait. Les murmures qui suivirent les paroles du médecin ne l’aideraient sûrement pas à sortir de là. Pourtant, une sorte de soulagement prit place à l’intérieur de la jeune coiffeuse. A vrai dire, elle n’avait pas vraiment été très à l’aise lors de la première vague d’accusations, se connaissant assez pour savoir qu’elle n’était pas très douée pour se défendre elle-même.

Se détachant des autres invités, ses pas la menèrent plus près encore du corps inerte de la vieille dame. Ses yeux fixaient inlassablement le lointain, un filet de sang, semblable à une veine, barrait son visage en deux. On pouvait lire sur ses lèvres mortes le commencement d’un cri, peut-être. Elle portait un blaser rose pastel, un neuf à en remarquer l’odeur de javel qui en flottait. Dommage que la jolie couleur soit à présent parsemé de tâches et de liserés rouge écarlate. Le col était le plus attaqué par le liquide poisseux, descendant ensuite vers le bas du manteau, sur la fermeture éclair et dans les poches gauche et droite. L’une d’elle laissait entrevoir un angle de ce qui pouvait être un bout de papier. Katherine la prit en main, constata que c’était une photo de Doppelgänger, esquissa un léger sourire et la fourra dans sa poche, là où la chaleur était encore présente. La coiffeuse s’imagina la vie de la vieille dame. Elle devait avoir des enfants, sûrement même des petits-enfants. Un chat, peut-être un chien ? Un mari, des films préférés, des livres, des repas favoris. Elle devait avoir une vie douillette, emplie d’amour et de douceur. Katherine s’écarta d’un pas, puis d’une deuxième. Son cœur se serra à mesure qu’elle fuyait l’image qui prenait étrangement une autre forme à mesure qu’elle s’engouffrait dans la vie de la vieille dame.

Elle était la seule à connaître la vérité. Elle était la seule à avoir vu son agresseur dans les yeux. La mort l’avait happé et avec elle, le nom du tueur.

(c) Kiki.2000

Le Meurtre à la Rose

~ feat. Killian Jones & les invités ~

Killian fronça les sourcils à l'instant même où il aperçut le cintre dans les mains de Belle. Non ça ne pouvait pas être elle, c'était impossible... Même si tous semblait suspect à cet instant précis.

Crochet n'avait pas accordé d'importance à la réponse sarcastique de Madame le Maire et s'était plus fait discret dans la masse, se contentant de scruter les agissements des autres. Belle s'était faite prendre la main dans le sac; Katherine s'était avancée de plus près pour scruter le corps - alors qu'on connaissait tous son audace, mais pas son courage à toute épreuve non plus; la Russe, au départ effrayée, semblait s'en être vite remise... L'Homme avait de ces réactions ahurissantes et différentes d'un individu à l'autre et selon les situations. Comment savoir qui avait agit de telle ou telle manière ?

Les Yllions ne paraissaient pas fautifs... Tout le monde connaissait leur identité dans l'univers des Contes, et il serait trop simple que l'un des deux soient coupables... Bien que la logique voudrait qu'on les soupçonne malgré tout... A côté de cela, le psychiatre et son patient se murmuraient d'indistinctes paroles à l'oreille, à l'écart du groupe. Le pirate ne pouvait s'empêcher de mirer ce duo avec quelques à priori; que ce soit ce soir ou dans le quotidien de la ville, ils avaient toujours ce traits suspects et insoucieux de graver sur leurs lèvres. Ils avaient toujours cet éclat dans les yeux qui cernait quelque chose sur eux qu'ils ignoraient tous...

Étrangement, la scène macabre avait dissocié l'unité de la soirée. Jones s'écarta du groupe et regarda derrière lui, la porte d'entrée encore entrouverte. Jefferson avait raison, la fête n'était pas au rendez-vous. Et il se serait bien carapaté d'ici.

Kiki.2000

« Intrigue Saint Valentin »

Le meurtre à la rose

Marre. Il en avait profondément marre d'être là, à écouter les médisances de chacun, tandis que son côté sa principale envie en ce moment même était la succession de deux autres meurtres dont il serait évidemment l'auteur. Cette vue sanglante n'avait fait qu'amplifier la haine qu'il portait envers le couple "phare" de la soirée, ce qui ne l'empêchait pas d'en être également très touché. Du moins, c'était ce que le beau mâle essayait de démontrer autant que possible aux yeux des personnes présentes dans la pièce, car plus les minutes défilèrent, et plus il se souciait de ce que pouvaient penser les autres, même si finalement, c'était peut être trop facile de suspecter chaque détail, chaque regard, chaque parole ou attitude. Lui aussi n'avait pas été très malin en prenant la parole devant le cadavre alors que cette pauvre femme se fichait complètement de venger qui que ce soit, elle n'était plus de ce monde. Elle aurait aimé le rester, mais Simon faisait partie de ceux qui ont vu la mort de près, et même de par son boulot mettant sans arrêt les mains dans la chair animale et pourtant il n'allait pas non plus prier chaque fois pour la résurrection de tous ces animaux sinon il ne s'en sortirait pas. Et puis le sang n'était pas une chose qui le répugnait plus que cela. En tout cas, Belle coupable, arme ou pas il n'y croyait pas une seule seconde.

Vous la voyez avec l'arme et ça y'est, vous l'imaginez déjà coupable. Je suis sûr que le Shérif ne raisonnera pas comme vous et heureusement.

Par contre, c'était effectivement l'arme du crime et ça avait été confirmé. Tuer avec un cintre enfoncé dans le crâne, quelle idée. Bon, ceci dit, qui pourrait prétendre ne pas y songer avec plusieurs grammes d'alcool dans le sang, par exemple? vu le champagne qui était censé couler à flot ce soir? Ça pouvait traverser la tête de n'importe qui. A commencer par la dame d'ailleurs. Ironique oui, mais Simon avait quand même envie de jouer un peu avec cet humour noir, en se doutant bien qu'il faudrait plus que ça pour espérer détendre les invités.

Un cintre, ça peut traverser la tête de n'importe qui hein. Ben la preuve..

En désignant le cadavre. Si le but des Yllion était de faire de cette soirée un magnifique bordel, c'était en tout cas réussi. Mais le shérif arriverait bien tôt ou tard, et on ne pouvait pas dire que Simon l'attendait avec impatience. A vrai dire, il serait peut être même déjà loin avant qu'il n'arrive. Pourquoi rester planté là après tout ? A moins de profiter de l'occasion pour voir de quelle façon ses ennemis allaient se sortir de tout ça..

Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia

INTRIGUE COLLECTIVE

MEUTRE A LA ROSE

Emma. Elle viendra, c'est certain. Et la simple idée de ce face à face la rend nauséeuse. Seigneur, pourquoi est-elle venue ? Son amitié pour Zaria, sans aucun doute. Car il est vrai qu'elle n'avait, initialement, aucune envie de rappliquer parmi toutes ces paires d'yeux un peu trop curieuses. Elle soupire, observe autour d'elle, passe une main lasse sur son front.

« Seigneur.. Quelle merde. »

Elle baisse d'un ton pour laisser l'injure flotter dans l'air, puis s'octroie quelques instants de paix, un peu plus loin. Elle préfère s'écarter de la foule d'idiots qui tentent désespérément de trouver le coupable. Elle préfère s'aérer avant de voir le blouson rouge ramener sa fraise. C'est un fait : elle devra absolument revoir son ancienne compagne. Car après la découverte, l'enquête débutera. Témoin. Merveilleux. Elle est témoin.

LE MEURTRE À LA ROSE
Intrigue spéciale St. Valentin

❝ House on fire. ❞

Un cintre. Il contemple l'objet sans réellement le distinguer. A dire vrai, ses méninges tournent présentement à une vitesse folle. Tout semble accuser Belle mais, le psychiatre n'en croit pas un mot. Longuement, il contemple les traits visiblement effarés de la jeune femme. Cette dernière est bien trop frêle pour avoir troué d'un coup de cintre la boite crânienne de cette vieille dame. De plus, trop de signes prouvent son incompréhension. Barek secoue mollement sa petite caboche. En vérité, ils craignent tous d'être accusés. Chacun redoute d'être pointé du doigt et non de séjourner en compagnie d'un assassin. L'être humain a bien trop souvent des priorités détonantes. Un bref soupire lui échappe. Puis, discrètement, ses phalanges viennent enlacer celles de Rasvin.
- Venez, intime-t-il dans un murmure.
Les deux hommes s'éloignent alors de quelques pas. Barek s'octroie une poignée de minutes afin d'observer l'assemblée. Une fois assurée de ne pas avoir été remarqué, le psychiatre se penche délicatement vers l'oreille de son patient :
- Qu'avez-vous éprouvé à la vue de cette scène ?

Le Meurtre à la Rose

~ Rasvin Dasvidanyia ft. les invités ~

La coupe de champagne à la main, Rasvin sourit et s'accorda une gorgée distinguée, le regard toujours tendu vers la vieille dame. Mais il sentit les doigts frêles de son docteur lui effleurer la main libre, l'attirant à quelques pas discrets du groupe. Les deux minutes de silence entre les deux hommes permirent à Dasvidaniya de plonger ses prunelles dans le regard noir infini du Docteur, comme s'il cherchait à déceler dans la pénombre de son iris, ce à quoi il songeait à cet instant précis.

- Qu'avez-vous éprouvez à la vue de la scène ?

Rasvin haussa un sourcil. Psychanalyser dans un moment pareil ?! Il est vrai qu'ils entretenaient continuellement une conversation sur l'existence humaine et leurs émotions les plus intimes, respectivement, mais il ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire en réalisant que dans un tel embarras, monsieur Raskol ne pouvait s'empêcher d'avertir l'état psychologique de son patient.

- Ce que j'ai éprouvé à la vue de la scène ? Il approcha ses lèvres de son tympan pour lui murmurer: la même chose que vous, j'imagine.

Il s'écarta de lui, plissa de nouveau les lèvres vers le haut.

(c) Kiki.2000

Le Meurtre à la rose

Règlement et indications

Fin de la deuxième étape ! Réfléchissez bien à partir de maintenant, les indices peuvent se diffuser de manière très discrète, et beaucoup d'éléments importants seront à répertorier dans vos carnets ! Soyez assidu pour obtenir vos bonus ! Sachez qu'un seul d'entre vous complète son carnet à fond et obtient des bonus très très important chaque semaine pour la suite de son enquête !

Eliminations de la semaine

Dimitri, Barek et Rasvin quittent l'enquête. Attention, LA FINALE APPROCHE A GRANDS PAS ! Soyez assidus dans vos carnets, réfléchis dans votre enquête, et malins dans vos RPs, cette semaine sera celle de toutes les décisions !

Kiki.2000

Le Meurtre à la rose

DERNIÈRE ETAPE !

L'enquête touche à sa fin ! Cette semaine est celle de toutes les réponses ! Réfléchissez, soyez assidu dans vos carnets pour remporter des bonus exclusifs ! Qui soupçonnez-vous ? Qui est le coupable ? Comment le meurtre à la Rose s'est-il déroulé ? Toutes les réponses, sont à venir mais c'est à VOUS de reconstruire le puzzle. Bonne chance, enquêteurs !

Kiki.2000

Le Meurtre à la Rose

~ feat. Killian Jones & les invités ~

Rongé. Voilà dans quel état se retrouvait son estomac. Il était noué. Non pas par la peur, la vieille dame qui gisait comme une truie sur sa chaise ne la dérangeait pas, mais peut-être davantage parce qu'il avait faim. Ou peut-être tout simplement avait-il abusé sur les bulles ?

Il hoqueta peu discrètement, puis ne pu se retenir de ricaner en apercevant quelques invités le regarder d'un mauvais œil. Constatant qu'il ne restait pas le centre d'attention plus de deux secondes, son sourire se fana sur son visage, laissant place à quelques yeux vicieux. Ils se plurent à mirer la réaction des autres face à ce meurtre. Jones ne pu s'empêcher de scruter le cintre au loin, désormais déposé sur une des tables du salon, afin qu'un des shérifs puissent l'examiner. D'ailleurs, quelqu'un avait-il appelé la police ? A priori oui, puisqu'il entendit bientôt une sirène au loin. Il ne restait que très peut de temps avant de découvrir le ou la coupable. Ses yeux se nichaient sur les visages de Zaria, Oscar et Regina. Surtout sur Regina. Elle croisa son regard et haussa un sourcil, il se contenta de sourire. Non, il n'avait toujours pas digéré sa trahison et ses airs de fausse capricieuse autoritaire. Peut-être sans doute vis-à-vis de ce qui c'était passé avec Cora.... Qu'importe, celle-ci était déjà loin. Il n'y avait plus que la fille qu'il fallait mettre hors courses. Et le crocodile serait enfin à lui. Rien qu'à lui. Aucun traître, aucun faux jeton ne serait entre ses pattes. Car oui, si la Méchante Reine nourrissait une relation très particulière avec Rumplestilskin, il arrivait qu'en de pires circonstances, l'un vienne en aide à l'autre pour en tirer un avantage futur. Oui, bien qu'ils ne pouvaient pas se supporter, ces deux vilains misaient tout pour parvenir à leurs fins respectives. Mais le Capitaine Crochet aussi.

Il bu une nouvelle gorgée de champagne. La voiture du Shérif se gara devant la demeure des Yllions.

Kiki.2000

« Intrigue Saint Valentin »

Le meurtre à la rose

Ne plus être là ou rester juste quelques instants, Simon n'eut à vrai dire, pas le temps de se poser la question désormais. Il ne pouvait pas s'enfuir soudainement en courant cela n'aurait probablement servi à rien et n'aurait aucun sens surtout qu'il n'y avait pas non plus moyen de passer inaperçu en présence de shérifs. En effet, la fameuse sirène de police venait de retentir, et il était bien trop tard pour faire machine arrière, d'autant qu'il serait dommage de louper les réactions respectives des Yllions, et des autres.

Tout le monde s'empressa de s'avancer vers le hall d'entrée, tous curieux de savoir comment allait évoluer la suite de l'évènement, devenu tragique. Ni une ni deux, d'un pas peu confiant, Simon en fit donc de même. Dès lors qu'il eut quitté des yeux le cadavre de la vieille dame et par la même occasion la pièce dans laquelle ce dernier se trouvait, Simon s'arrêta un instant sur la pièce précédente, puis baissa la tête. Ah, ce tapis ensanglanté, il ne lui avait pas manqué. Pourtant, ce n'était pas grand chose comparé à ce qu'ils avaient tous pu observer lorsque Zaria leur avait ouvert la porte donnant sur la grande salle qu'il venait tout juste d'abandonner.

Il exhala un profond soupir avant de se surprendre à repérer un placard entrouvert, à côté de la sortie. Simon pris donc la décision de l'ouvrir, le regard suspicieux. « Mince. » pensa t-il. Ceci dit, personne n'avait l'air de l'avoir remarqué au passage. La main sur la poignée, un cheveu blond s'enroula entre ses doigts, et renforça la pâleur de son visage. Et comme si ça ne suffisait pas, l'intérieur laissa paraître quelques cintres -oh tiens-, ressemblant étrangement à l'arme du crime, oui, ce cintre, imbibé de sang. En décalant le premier cintre de la rangée, son attention se posa sur une minuscule tache de couleur écarlate, en plein sur le mur du fond du placard.

Faire comme s'il n'avait rien vu ? Excellente idée. La plus certaine, selon lui. Simon ne voulût pas se fourrer en plein dans les emmerdes, bien qu'il y était -peut être- déjà, finalement.

Il referma silencieusement le placard, puis sortit de cette pièce qui se trouvait donc sous l'escalier, et enfin, se dirigea vers le hall, rejoignant ainsi tous les autres.

Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia

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Le Meurtre à la Rose [Intrigue - enquête]

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